Les Noires ne peuvent être majorette

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il y a 5 ans

Madame Simmons savait que ce jour viendrait. Après tant d'année à tenter de garder une équipe normale, elle dut finalement obéir et prendre des filles noirs dans son équipe de majorettes, constituée uniquement de filles blanches, sa la dérangeait d'avoir a dépeindre la beauté de ces 9 jeunes petites femmes avec des jeunes filles noirs, mais l'administration de l'école lui a demandé plus d'égalité dans chaque activités.

Ce n'était pas par racisme que Madame Simone refusait l'accès de son équipe à de jeunes filles noirs. Elle préférait juste travailler avec de jeunes filles blanches qui étaient bien plus docile et pleine d'entrain, comparée aux habituelles femmes noires autoritaire et demandantes.

Alors avec beaucoup de mécontentement, elle ouvrit ses portes aux canditariat noir de l'école. Elle demandât même a certaines filles de l'équipe d'essayer d'inviter quelque blacks.

Malgré la forte compagne de recrutement, aucune fille noire ne signait. Madame Simmons pensât qu'elles devaient être habituée à l'équipe de jeunes femmes blanches, et qu'elles n'étaient pas intéressées par l'activité.

Il y en eu une.

Trish était très athlétique et était une magnifique étudiante avec sa peau brune. Elle approchât l'entraîneuse un jour alors que l'équipe s'entraînaient dans le gymnase. Simmons la vit une fois et lui offrit une place. Elle avait enfin sa joueuse d'origine noire, montant le nombre de participantes à un total de 10

Même si Madame Simmons était inquiété vis a vis d'avoir une joueuse noire dans l'équipe, elle savait qu'elle n'avait pas le choix. Cependant malgré ses réserves elle fut assez impressionnée de Trish. Elle venait assez tôt aux entraînements et contribuait réellement à l'équipe. L'équipe travaillait même mieux depuis qu'elle était dedans.

Après deux semaines Simmons commençait à se sentir a l'aise avec Trish. Même le respect qu'avaient jeunes majorettes pour Trish était évident. Trish était toujours le centre de l'attention elle elles la suivait partout ou elle allait.

Il y eu des rumeurs parlant d'elle comme d'une capitaine d'équipe. C'était de mauvais augure pour Amber. Voyez vous Amber était déjà la grande capitaine de l'équipe. Pendant 4 années elle eu travaillée très dur pour obtenir ce titre de capitaine et ne voulait pas la perdre pour une jeune noiraude qui n'était dans l'équipe que depuis quelques semaines.

Bientôt Madame Simmons devint inquiète a propos des tentatives visible d'Amber visant à saboter la progression de Trish. Elle faisait de dur commentaires derrière son dos et ne lui était d'aucune aide.

Mais après quelques semaines, ce fut inutile. Toutes les autres filles blanches était visiblement du coté de Trish. Leurs attitudes devinrent un peu plus étrange lorsqu'elles étaient proche d'elle. Les filles n'osaient presque jamais la regarder dans les yeux et l'entraineuse ne vit personne marcher face a elle. Elles étaient habituellement a ses cotés ou derriere elle, mais jamais face a face. Très étrange.

Hélas, Madame Simons avait d'autre choses a se préoccuper. Plusieurs de ses meilleurs filles quittaient l'équipe. C'était de mauvaise aucune si elle voulait maintenir le niveau d'équipe à son plus haut point de compétition.

Elle en vint presque a les supplier de rester. Et alors qu'elle leur demandait pourquoi elle partaient, elle ne put en croire ses oreilles. D'une certaine façon, elles étaient persuadée de ne pas être assez bien pour être majorette et elle ne méritait pas leur place ici.

Au bout du compte Madame Simons ne put les empêcher de rendre leurs uniforme et quitter l'équipe. Elle ne put s'empecher de remarquer qu'elle était également les moins jolies filles blanches qui étaient alors dans l'équipe. Heureusement, remarquant le succès de Trish, quelques jeunes blacks demandèrent a rejoindre l'équipe. N'aillant aucune alternative, Simons les acceptât dans le groupe et elle avait a présent 6 caucasiennes pour 4 blacks.

Avec la mixité des couleurs, Simons redevint concentrée sur leur entraînement. En quelques semaines l'équipe faisait encore mieux qu'elle n'avait jamais vue depuis longtemps, et dépassait de loin le niveau de compétition des autres écoles.

Durant le mois suivant, deux nouvelles blacks avaient rejoint l'équipe apportant le total de participante a 12 : 6 black et 6 caucassiennes. Simons fut félicitée par l'école pour avoir réussit l'intégration si facilement. Mieux encore, la coach fut heureuse de voir que l'hostilité entre Amber et Trish avait disparut. Apparemment, dans magnifique preuve de bonne volonté, Amber donnât a Trish le poste de capitaine. Madame Simons était un peu surprise par cela. Amber avait tellement voulut ce poste depuis qu'elle était une jeune recrue. Cependant c'était Trish qui tenait le titre et toute les autres filles en semblaient heureuse.

Fait encore plus inhabituelle, Amber semblait a present tout faire pour rendre Trish confortable. Par exemple le massage des pieds. Après chaque séance Miss Simons entrait dans le vestiaire et voyais son ancienne capitaine caucasienne masser gentiment les pieds fatigués et en sueur de Trish. Simon était un peu décu que Trish ne lui retourne jamais la faveur, or meme ne lui donne jamais , lorsque le massage était fini un merci.

Un autre geste sympathique d'Amber était de s'asseoir sur le sol plutôt que sur le banc lorsqu'elles se changeait. Malgré les difficultés évidentes de mettre l'uniforme de majorette en étant sur le sol, Amber ne semblait pas se gêner de laisser plus de place a la jeune noire.

Mais le plus grand changement était a quel point toute les autres filles blanches semblaient suivre l'attitude d'Amber. Chaque caucasienne était devenut plus proche d'une noir en particulier, approximativement du même age. Les caucasiennes semblaient rester constamment proche de leur nouvelle amie noire et Simons en vit même une qui portait les livres de son amie dans des couloirs.

Après un autre mois les choses s'améliorèrent. Plusieurs collègues venaient pour voir les routines et Madame Simons était simplement très fière de ses filles. Avoir des filles d'origines différentes devenait alors une très bonne idée.

Cependant, les choses n'étaient pas aussi parfaite qu'elles en avaient l'air. Malgrès toute les gentillesse des jeunes filles blanches, les blacks n'avaient pas encore montrée la moindre bonne volonté en retournant les faveurs, et la coach était persuadée que les blacks n'appréciait même pas cette amicalité.

Comme lors des douches. Normalement chaque filles avait le droit a une seule serviette pour se sécher. Cependant depuis quelque temps lorsqu'elles sortaient de la douche, les noirs avaient deux serviette entourée autour de leurs corps. Une cachant leur poitrines et l'autre autour de la taille.

Les jeunes blanches sortaient non loin derrière, nue et trempée. Alors que les noirs se séchaient devant les casiers, les blanches s'essayaient sur le sol, attendant qu'elles finissent. Enfin après quelques dix bonnes minutes les jeunes blacks leur tendaient leurs serviettes humide afin de se sécher.

Au début Simons pensa à en parler avec Trish, qui était la plus influente des filles de l'équipe. Mais voyant comment tout ce passait bien, elle ne voulait pas vraiment perturber les choses. Et de plus, les jeunes filles ne semblaient pas être gênée de faire toute ces faveurs à leurs camarades.

Les choses devinrent alors encore plus bizarre. Normalement durant les compétitions de football, les fans ne sont pas très enthousiaste, cependant pour une raison inconnue, ils étaient aujourd'hui comme en délire. A chaque fois qu'une des majorettes blanches faisait un saut ou se penchait, la foule devenait très mouvementée et encourageatrice.

La coach espérait que c'était pour leur progrès considérable. Puis elle remarqua qu'aucune des noirs n'avait autant de soutien durant leurs exercices, et que les jeunes filles blanches rougissaient à chaque fois qu'ils terminaient leur mouvements. Simons devint alors soupçonneuse. Curieuse, elle se mit face aux filles et attendit leur mouvements.

Tout d'abord Trish fit un très bon atterrissage, avec un pied balancé dans la main de la fille sous elle et son autre pied levé en l'air. C'est un mouvement habituelle, et tout ce qu'on pouvait voir était la culotte de son uniforme et ses jambes noirse, pas très impressionnant.

Puis une des filles blanches, Sara, se prépara à faire le même mouvement. Elle vit son entraîneuse la regarder et commença a paniquer , mais la black derrière elle la retint par la taille et la bloquât fermement. Alors qu'elle murmurait quelque chose dans l'oreille de Sara, Sara baissât la tête et acquiessat. Après quelque seconde Sara avait sautée. Alors que Sara leva sa jambe, la mâchoire de Madame Simons s'ouvrit en grand. le vagin de Sara était complètement exposé au public. Alors que les fans explosèrent derriere elle, Simons regarda le visage de Sara devenir rouge pivoine de honte alors qu'elle baissa les yeux au sol.

Madame Simons était complètement estomaquée. Sara avait elle intentionnellement laissé son corps sans sous vêtements ou avait elle simplement oubliée? Alors qu'elle continuat a regarder le reste des filles elle eut sa réponse. Alors que toutes les noires portaient une culotte, aucune des filles blanches n'avait quelque chose sous leur mini jupes.

Ne voulant pas provoquer un scandale, Simons autorisa les filles à rester sur le terrain. Mais à la fin du match, elle était outragée. Alors qu'elles retournaient dans les vestiaires, Trish pris son entraîneuse par derrière.

"Hey, Madame, il y a quelque chose qui ne va pas?"

"Je dirais certainement oui. La moitié de tes camarades ne portait pas de culotte pendant le match d'aujourd'hui!"

"Oh.. sa. C'est pas vraiment grave. On leur a dit de le faire."

"QUOI?"

"Oui Madame, on a dit au caucasienne de ne pas porter de culotte pendant le match."

"Mais pourquoi ferais tu cela?"

"Pour augmenter l'excitation de notre séance. On savait que voir des chattes nous rapporterait du succès auprès des fans durant la partie."

"C'est une terrible idée. Et pourquoi juste les filles blanches? J'ai vu que toutes les noires de l'équipe portait des culottes!"

"Parce que franchement Madame Simons, on est pas des salopes. Nous avons trop de respect envers nos corps pour les montrer comme ça."

"Que dis tu? Je connais ces filles, elles viennent de bonne familles respectée. Je ne croirais jamais qu'elle voulait faire quelque chose comme sa."

"Elles ne voulaient pas Madame Simons, elles l'ont fait parce qu'on leur a dit de le faire."

"Pardon? Je comprends pas? Pourquoi feraient elles ce que vous leur dite?"

"Et bien c'est vraiment simple, ça s'appelle la dominance naturelle."

"Je ne te suis pas."

"Madame Simons, lorsque une petite jeune fille blanche se trouve en compagnie d'une autre fille noir, elle a tendance a devenir obéissante envers elle. Il n'y a vraiment rien de mal a cela, c'est naturel. Nous autres femmes noires remplissons simplement notre rôle naturel lorsque nous les dominons."

"Je ne peux pas croire ce que j'entends."

"C'est vrai, même vous avez du le sentir de temps en temps, n'est ce pas Madame Simons."

L'entraîneuse était sans voix. Comment sa belle capitaine osait elle dire de tel choses?

"Allons, coach, être autour de toute ces jeunes filles noirs et athlétiques..."

"Trish je ne sais pas de quoi tu parle, comment ose tu me dire de tel chose. Maintenant rentre au vestiaire et lave toi."

Trish ne fit que lui sourire et entra dans le bâtiment. Madame Simons se tint immobile pendant un moment, essayant de comprendre ce que lui avait dit sa principale participante. L'idée que les femmes blanches était naturellement obéissante aux blacks était absurde, et c'était méchant de la part de Trish de suggérer que sa coach était sujette aux même réactions.

Alors qu'elle pénétra dans le vestiaire et jeta un coup d'oeil dans les douches, elle vit les 6 filles blanches soit a genoux, soit se tenant gentiment debout, nue, lavant le corps de leur 'amie' noire.

Elle comprit enfin. Elle réalisa finalement ce qui se passait entre les deux groupes de filles. ses gentilles participantes devenaient des jouets dociles entre les mains de leurs camarades noires. les jeunes blanches se soumettant aux jeunes noires, les blanches les plus âgées se soumettant aux noir les plus âgées. Cela arrivait. Vraiment.

Puis elle regarda dans le coin des douches et vit Trish devant un des jets d'eau chaude. En bas à ses pieds se tenait Amber, à genou prosternée avec son cul pale élevé vers le plafond alors qu'elle lavait un des pieds noirs de Trish.

Après quelque instant qu'il lui fallut pour comprendre ce qui se passait, Madame Simons sentit son coeur battre la chandelle. Paniquée elle quitta le vestiaire aussi vite que possible et rentra directement chez elle. Tremblant légèrement de cette révélation, elle glissa dans un bon bain chaud et prit sa propre douche.

Elle ne pouvait y croire. Ces filles étaient si douces et innocentes lorsqu'elles n'étaient qu'entre elles. La plupart de ces filles venaient de bonnes familles de bon voisinage, et pourtant l'image de Monica, une jeune fille blanche en seconde année, agenouillée devant une jeune fille noire, lavant délicatement ses jambes noirse et ses cuisses était irréel. Sans même le réaliser Madame Simons descendit sa mains entre ses cuisses alors que des images envahissait son esprit. Puis elle pensa à Amber et Trish. Elle se souvenait de la fierté qui avait illuminé son visage lorsqu’elle avait été nommée capitaine. Et combien elle s'était battue contre Trish pour le rester. Et pourtant à présent elle était à genou nettoyant les pieds de la nouvelle capitaine.

Madame Simons se masturbait sans retenue à présent. L'eau chaude frappant son visage et sa poitrine. Bientôt ses jambes tremblèrent et elle tomba à genoux.

Soudainement l'image changa encore. A la place de voir Trish depuis la porte, Trish se tenait à présent devant elle. Ses longues jambes athlétiques proches de la coach. Elle avait remplacée Amber. Elle était celle qui était à genoux devant la femme noire. A cette instant la chatte de Madame Simons explosa son jus coula sur ses doigts.

Durant la nouvelle semaine, le moral de Simons se releva en apprenant que son équipe était classée première de tout le pays. Toutes les entraîneuses étaient tellement jalouses du succès de ces filles, et Simons était très fière.

Elle oublia même de remarquer comment chaque fille continuait de nourrir les désirs de leur camarades noirse.

Arrivant au nouveau match de football, l'entraîneuse était convaincue qu'elles allaient faire leur meilleure performance. Elle était même sûre que TOUTES les filles portaient des culottes cette fois.

Le jeu se déroula sans accroche. Madame Simons devenait encore plus fière du travail accompli. A la fin de la seconde pause , les fans étaient vraiment en folie.

Bien sur tout ne pouvait pas se passer parfaitement. A la mi temps, Madame Simons autorisa ses filles à prendre une courte pose. Alors qu'elle prit un siège pour se reposer, elle remarqua du coin de l'oeil deux majorettes qui approchaient un groupe de fans très excité.

Elles les reconnu immédiatement comme étant Michelle et Wonda. Wonda poussait gentiment une Michelle visiblement nerveuse vers l'homme qui se tenait à présent contre les barres les pressant de se rapprocher.

Observant, Simons vit Wonda commencer à parler à l'homme, presque plaisantant alors que Michelle se tenait dernière elle. Wonda se mit alors derrière Michelle, murmuratquelque chose a son oreille, posa ses mains sur ses hanches et attrapa les deux bords de son haut de majorette.

Puis pour le plus grand désarroi de la coach, Wonda releva le top de Michelle, révélant sa poitrine laiteuse aux hommes. Alors que Wonda continuait de tenir le haut de Michelle, un des hommes sortit sa main et commença à la caresser.

Un instant plus tard d'autres majorettes venait au même endroit, avec leur camarade caucasienne obéissante les suivant à la trace. En un rien de temps les hauts furent levait et d'autres poitrines furent fortement caresser et pinçoter. Une des blacks leva même la jupe d'une des filles, montrant sa petite culotte à un homme, qui glissa sa main dedans.

Madame Simons était pétrifiée , choquée par la scène qui se formait rapidement devant elle. La moitié de son équipe se faisait caresser. Encore plus incroyable, les jeunes filles laissaient les blacks révéler leur charmes ainsi.

Simons sortit de son trauma et se pressa de vérifier si quelqu'un avait vu ce qui c'était passé, mais la foule semblait ne rien avoir remarqué. Réalisant qu'elle ne pouvait laisser ce genre de chose continuer, elle alla directement vers ses filles et commença à crier sur ces jeunes exhibitionnistes.

Effrayée, toutes les filles se pressèrent de retourner sur le terrain et commencèrent leur second enchaînement.

Dieu merci, rien ne sortit de l'ordinaire jusqu'a la fin du match. Mais Madame Simons était visiblement encore très énervée, et les filles firent de leur mieux pour éviter son regard alors qu'elles partirent pour le vestiaire à la fin du match.

Mais la coach en avait plus qu'assez. Cette connerie devait s'arrêter. Domination naturelle ou pas, ces filles noirs allaient laisser ces jeunes files en paix. Madame Simons était une adulte et si ces blacks ne voulait écouter, elles devraient quitter l'équipe.

Une fois dans le vestiaire, Simons envoya les filles caucasienne à la maison et ordonna aux autres d'aller dans son bureau. Les yeux roulant, elles entrèrent dans son bureau et entourèrent son bureau alors qu'elle fermait la porte

"Ok, maintenant j'en ai marre de ces absurdités. Je ne sais toujours pas exactement ce que vous faites à vos camarades, mais ça va s'arrêter, maintenant. Vous êtes supposées être une équipe, une ferme, équipe de supporters bien fiable. Vous n'êtes pas supposées faire d'elles vos servantes personnelles!"

"Mais Madame Simons, c'est ce qu'elles veulent vraiment. C'est dans leurs s a n g ."

"Trish c'est stupide...."

"C'est vrai! Les femmes blanches sont plus heureuses au pieds des femmes noires que en étant leurs égales. Comme je le disais c'est naturel. Même durant l'esclavage, les femmes des propriétaires d'esclave ne venaient que rarement voir leur esclaves personnellement. C'est une fait acquis que une femme blanche ne peut résister à la présence dominante de leurs esclaves noir de même sexe et qu'elles se retrouvaient souvent se soumettant a leur propre esclave, pour leur propre humiliation."

"Je suis désolée Trish mais c'est ridicule. Maintenant je veux que tu arrêtes de traiter tes camarades si méchamment. Tu me comprends?"

"Oh je comprends Madame, mais je ne pense pas que toi tu me comprennes."

"Pardon?"

"Madame Simons, tu ne peux tout de même pas me dire que tu n'as pas ressenti le besoin, le désir."

"De quoi parles tu?"

"T'es sans doute une adulte, mais tu es toujours une femme blanche. Tu ne peux pas me dire que tu ne t'es pas imaginée à genou devant moi."

"Je...Je...Trish cette conversation est terminée..."

"Madame Simons, je crois te voir rougir. Tu y as donc pensée. C'est pas grave coach. Comme je le disais, c'est simplement naturelle. Tu peux te mettre à genoux maintenant si tu veux, je ne dirai rien."

"TU ne diras rien? Trish comment oses tu! Je suis une adule et ta coach. Tu devrais me montrer un peu de respect."

"Madame Simons, pourquoi se retenir? Obéissez à vos instincts. Pourquoi regardes tu mes jambes, ne sont elles pas jolies?"

Malgré elle, elle avait le regard plongé sur ses longues jambes. Oui elle avait de très jolies jambes. Longues, athlétiques, et... noir. Elle tenta de regarder autre chose, et s'aperçut qu'elle ne pouvait pas. Simons était hypnotisée par ces puissantes jambes noirs. Quelque chose ne elle ne la laissait pas bouger la tête.

"Madame Simons, ne voudrais tu pas plutôt les regarder... depuis le sol?"

Alors qu'elle parlait, deux autres majorettes se mirent derrière leurs coach et la poussèrent gentiment vers le sol grâce à ses épaules.

Alors qu'elle continuait de regarder ces magnifiques jambes, elle se vit entrain de s'agenouiller sur le sol. Bientôt elle était complètement a genoux devant Trish et avait les yeux levés vers ses belles jambes... comme elle l'avait imaginée. Ses yeux continuèrent alors plus loin jusqu'a disparaître sous la jupe de la Capitaine, puis passa son doux estomac musclée jusqu'à son invitante poitrine et finalement jusqu'au sourire large qu'elle avait. l'entraîneuse frissonat.

"A présent Madame Simons, n'est ce pas mieux? N'es tu pas plus détendue et en paix avec toi?"

Elle avait raison. La coach était détendue. Elle se sentait effectivement plus a l'aise dans cette position. Comme si c'était ce qui devait être. Son coeurs cependant battait toujours à forte vitesse.

"Tu sais, coach, mes pieds me font vraiment mal à cause de tout le travail que tu nous a fait faire. Et puisque tu as renvoyer toute les filles chez elles, il n'y a plus personne pour les masser."

Son souffle devint encore plus lourd alors qu'elle abaissât ses yeux jusqu'aux chaussures de la jeune femme.

"Coach, puisque tu es la seule blanche restant, pourquoi ne retires tu pas mes chaussures et ne me donnes tu pas un bon massage."

Alors que Trish s'assit sur le bureau , Madame Simons regarda alors qu'elle retirait lentement les chaussures de la jeune fille, suivies par ses chaussettes pleine de sueur. Finalement le pied nue de Trish fut visible "Entraîneuse, pourquoi n'embrasserais tu pas mes pieds avant tout. Afin de me montrer que tu comprends parfaitement comment fonctionne la nature."

On y était. La belle majorette demandait a présent à son entraîneuse d'admettre totalement son assujettissement. Admettre qu'elle, une femme blanche adulte, était totalement et naturellement soumise à une jeune femme noire, et que toutes les femmes blanches étaient de nature soumise aux noires.

Madame Simons n'osa bouger. Elle se contenta de rester à genou, fixant les pieds de la jeune femme noire. Ses poumons se faisaient lourds et son coeur battait contre sa poitrine. Une des filles noir commença à pousser gentiment sa tête en avant. L'entraîneuse ne résista pas.

Elle inhalât l'odeur de sueur alors que ses lèvres touchèrent le pied droit de Trish. Elle commença alors à déposer de petits, légers baisers sur ses pieds, alternant entre le pied droit et le pied gauche.

Madame Simons avait accepté sa place. Il n'y aurait aucun retour possible. Trish le savait, et posa son sourire sur sa dernière conquête.

"Hummmm, bonne fille... tu es une bonne fille blanche. A présent tu peux me masser les pieds." Après cinq minutes de massage silencieux, Trish parla de nouveau. "Madame Simone, je pensais à quelque chose. Etre responsable d'une équipe entière de jeunes majorettes est une grosse responsabilité. Je ne pense pas qu'une femme blanche comme toi puisse soit suffisant pour l'emploi, tu es d'accord?"

Madame Simons hocha la tête à contre coeur.

"Et bien peut être que vous devriez lever le pied Madame Simons, puisqu'il est trop dur pour que ton cerveau le supporte. Ne serait ce pas mieux si l'une des femmes noires prenne le contrôle? Tu sais, diriger l'équipe. Nous savons toutes que tu n'es pas faite pour ça. Bien sur tu resterais l'entraîneuse ''Officiel", l'entraîneuse de l'équipe qui s'occuperait de garder l'administration du lycée, mais tes jours en tant que réelle entraîneuse et dirigeante de l'équipe sont terminés."

Simons baissa la tête en acquiescement.

"Mais ne sois pas si triste entraîneuse, peut être peux tu toujours faire partie de l'équipe d'une certaine façon. Tu serais parfaite comme majorette. Tu connais dores et déjà nos mouvements d'encouragement, tu pourrais le faire, j'en suis persuadée."

Madame Simons ne pouvait croire ce qu'on lui disait. Comment Trist pouvait-elle lui demander d'être une majorette? Elle avait 33 ans. Trish plaisantait, n'est ce pas?

"Mais il faut d'abord que l'on te trouve l'uniforme adéquat. Pourquoi ne retires tu pas tout tes vêtements de grande fille afin qu'on t'en trouve de nouveau."

Madame Simons s'immobilisa. Elle n'allait certainement pas se dénuder devant de telles filles. Punaise, elle était toujours l'entraîneuse, quoi qu'en dise Trish. Elle devait terminer tout ceci maintenant, avant qu'il ne soit trop tard.

Trish vit la révolte se former dans les yeux de l'entraîneuse, et savait déjà quoi faire. Elle leva son pied droit et le caressa doucement sur la joue gauche de madame Simons. Après quelques instants, la résolution de Simon avait fondu et elle ferma ses yeux, appréciant la sensation sur sa joue. Trish sourit devant l'apaisement du petit animal blanc.

"Maintenant, ma petite puce, retire tes vêtements pour ta Maîtresse noire."

Une Maîtresse noire. Oui, c'est ce qu'elle était. Cela sonnait tellement vrai aux oreilles de l'entraîneuse blanche. C'était sa Maîtresse noire. Tout comme l'herbe est verte, le ciel est bleu, elle était sa Maîtresse Noire.

Avec des doigts tremblotant, elle commença à se dévêtir devant toutes les majorettes noires. Trish ricana mentalement devant cette vue. Moins de 10 minutes plus tôt elle était une coach fière et sure d'elle, et maintenant elle était là, à se dévêtir devant eux et s'apprêtant à essayer un uniforme.

Alors que Simons détacha son soutien gorge, sa grosse poitrine se libera de son emprise. Bientôt elle était entrain de s'agenouiller, complètement nue devant eux. Trish se releva de la table et attrapa sa chevelure entre ses mains. D'un seul mouvement, elle amena son jouet rampant en dehors du bureau.

La pauvre Simons se bâtit pour rester au niveau de la diablesse noire, alors que Trish sortait brusquement du bureau, entrant dans le vestiaire. Au même moment, toutes les autres femmes noires ricanèrent et éclatèrent de rire en commentant le mouvement de son cul et de ses seins. Certaines s'amusèrent même à fouetter son cul pour augmenter l'amusement qu'elles vivaient.

Enfin elles purent entrer dans le vestiaire. Les genoux de la coach la brûlant et son cul la piquant légèrement. Trish ouvrit le casier d'une fille du nom de Katty. Katty était la seule nouvelle cheerleader qu'ils avaient dans l'équipe. A 18 ans elle était la plus douce petite beauté lorsqu'elle portait sa petite jupe et son haut, surtout lorsqu'elle était au sol, léchant les pieds de son 'amie' noire.

A présent le même petit uniforme flottait devant les yeux de Madame Simons.

"Aller, coach, je pense que c'est pile ta taille."

Les rires reprirent de plus belle alors que Simons tomba à genou, la bouche pendante.

"Mais, Trish, c'est trop petit, ça n'ira pas."

"Je ne suis pas d'accord, je pense que ça sera chouette. Maintenant, essaye la, Simons, je sais que tu souhaites m'écouter. je peux même te dire à quel point tu as envie qu'une femme noire dise ce qui est bien pour ton petit cul de blanche. Regarde un peu ce que tu fais du sol."

La pauvre Simons baissa le regard horrifié et vit une jolie petite flaque entre ses cuisses. Elle ressentit une forte honte d'elle et pensa : "Comment puis-je être excitée par quelque chose comme ça? N'ais je donc aucune morale ni respect?"

Madame Simons réalisa alors qu'elle se levait pour essayer son nouvel uniforme, qu'il était vraiment confortable d'écouter Trish. Malgrès cette immense humiliation, elle se sentit à nouveau elle même en faisant ce qu'on lui disait de faire.

Lorsqu'elle fit glisser le petit haut sur ses gros seins, elle avait l'impression que le tissu menaçait à tout moment d'éclater de la pression de ses charmes. Le léger tissu ne faisait rien pour cacher ses tétons durcis.

Puis elle fit glisser la mini jupe sur ses jambes. Cela ne faisait pas grand chose non plus pour couvrir une partie inférieure de son fessier, et laissait ses cuisses complètement nues. Puis elle chercha des yeux une culotte, et s'aperçue qu'il n'y en avait aucune.

Um... Trish... où est ma... culotte?

"Tu n'en porteras pas Madame Simons. En fait, aucune des filles blanches ne portera de culotte dorénavant. C'est une de mes nouvelles règles en tant qu'entraîneuse de l'équipe. Pense simplement à quel point les fans vont être heureux, beaucoup de cris d'encouragements, et beaucoup de chattes blanches.

Simons regarda dans le miroir et vit à quelle point elle était ridicule dans cette tenue. Une femme adulte portant l'uniforme de majorette d'une fillette. Le moindre mouvement permettait de voir intégralement sa chatte. C'était vraiment humiliant.

"Mais Trish, j'ai vraiment l'air ridicule vêtue ainsi. Pourrais je s'il te plait l'enlever?" Demanda elle, sa voix ressemblant plus a celle d'un e n f a n t envieux plus qu'a celle d'une adulte.

"Ne soit pas stupide, tu es adorable. Ma petite fille blanche sera la meilleur participante de toutes les filles. Quoi qu'il en soit, même si tu es ravissante ainsi, nous devant d'abord nous assurer que tu puisses réellement supporter la condition physique d'une majorette. Prête, Madame Simons?"

Les yeux de la coach s'élargirent. Elle savait que Trish voulait parler de la course aux genoux. C'était un programme que Madame Simons avait créé elle-même pour s'assurer que toutes les majorettes était physiquement capable de supporter cette pratique avant de les accepter dans l'équipe. Les filles devaient faire 4 tours en moins de 6 minutes ou elles ne seraient pas capables de rejoindre l'équipe. C'était une course éreintante. Beaucoup des filles détestaient Madame Simons pour leur avoir fait subir. A présent elle allait devoir la subir elle aussi.

Alors qu'elles sortirent du vestiaire se dirigeant vers le terrain, Simons était terrorisée qu'un étudiant ou un parent puisse être encore présent et puisse la voir habillée ainsi. Heureusement pour elle, il n'y avait personne.

"Ok coach, tu connais les règles. 4 tours en moins de 6 minutes. Si tu ne le fais pas, alors tu ne seras pas une majorette" Trish glissa sa main sous la jupe de la coach et caressa gentiment son fessier. "Et tu veux vraiment être ma petite majorette blanche, n'est ce pas?"

Rougissant, Madame Simons acquiesça.

"ALORS COURS"

Trish lui donna une grande claque sur les fesses et la coach dut commencer à courir.

Madame Simons se mit à courir brusquement sur la piste. Alors qu'elle courrait elle réalisa à quel point son uniforme était petit. Avec de grands effort elle put maintenir une main sur ses seins bondissants afin de les empêcher de sortir, et usa son autre main pour empêcher sa jupette de se relever pour montrer son cul et son entrecuisse trempée.

Au premier tour elle était déjà épuisée. Même ses bras était fatigués de tenir continuellement ses vêtements.

Pour ajouter à son tourment, les jeunes blacks s'étaient étendues sur l'ensemble du terrain et prenait un malin plaisir à lui frapper le cul à chacun de ses passages.

Deux tours. Elle avait de plus en plus de difficulté à tenir le rythme. Elle savait qu'elle était vraiment pas capable de faire ce type de course mais continua.

D'autres choses lui rendaient la tache encore plus difficile. A tout moment ses seins menaçaient de sortir du tissu et la douleur de son fessier augmentait à chaque coup. Mais à coté de tout ces problèmes, elle faisait un assez bon temps. Il restait 2 tours à faire et elle avait 3 minutes et demi à tenir.

Durant le troisième tour la pauvre Simons était vraiment exténuée. Elle avait du remettre sa poitrine en place dans le haut 3 fois déjà et elle était fatigué de constamment tenir sa jupette. A la fin du troisième tours, elle n'avait pus que 40 secondes pour finir l'épreuve.

Lorsque Trish annonca le temps, une grand panique traversa son coeur. Elle voulait tellement le faire. Elle avait tellement envie d'être la majorette blanche de Trish.

Elle plongea en avant et trouva une énergie dont elle ignorait l'existence afin de courir avec toute sa f o r c e . Libérant son esprit de toute distraction, elle laissa son haut et sa jupe en place et courut contre le vent. En un instant sa grosse poitrine était complètement sortie et se balançait follement alors que sa jupe était relevée jusqu'à son estomac, exposant sans gêne sa chatte et son cul.

"25 secondes" Hurla Trish. Elle avait encore la moitié du terrain à parcourir. La douleur de ses seins ballottant et sa chatte dénudée furent oublié alors que tout ce qui lui importait était de finir la cours

"15 secondes" Elle y était presque

"10 secondes" Dernière ligne droite

Elle pouvait entendre toutes les filles chanter en coeur

"8...7...6...5...4...3...2..."

L'entraîneuse s'écroulât sur la ligne d'arrivée et restât étendue, exténuée sur le sol, respirant comme un animal. Sa grosse poitrine exposée, se levant et rabaissant à chacune de ses inspirations lourdes. Sa jupe de majorette à hauteur de sa ceinture montrant sa chatte à toute les autres majorettes noires.

Trish se tenait prés du corps nue et en sueur de son ancienne mentor. "Félicitations, Coach, tu es dans l'équipe. On se voit à l'entraînement demain."

DarknessMaster

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